AMIS DU MUSÉE DE LA RAYMONDIE
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LE MUSÉE DE LA RAYMONDIE
À MARTEL


"MUSÉE GALLO-ROMAIN D'UXELLODUNUM"
labellisé Musée de France

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De la préhistoire à nos jours, remontez le temps...

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Le palais de la Raymondie, Place Henri Ramet
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Entrez par la petite porte au centre
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Le beffroi du palais de la Raymondie


VISITER LE MUSÉE EN 2023


Ouverture du musée pour vacances de Pâques 2023

jeudi 13 et vendredi 14 avril,  lundi 17 et mardi 18 avril


ÉTÉ 2023 : Heures d'ouverture à définir prochainement...


VISITER LE MUSÉE EN 2023
Sous réserve des évolutions de la situation sanitaire...
Le port du masque est obligatoire pour les bénévoles du musée
et pour les visiteurs à partir de 11 ans.

   
Les visiteurs doivent apporter leur propre masque (non fourni par le musée).
L’accès au musée se fera après avoir passé ses mains sous un distributeur de gel hydro-alcoolique.
Comme dans tout espace ouvert au public, les gestes barrières et la distance physique
doivent être respectés.

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Hors saison : ouverture du musée à demande à partir de 10 personnes

TARIFS

Tarif plein : 2€
*
Tarif réduit : 1€

(enfants de 12 à 18 ans, étudiants et demandeurs d'emploi)
*
Gratuit pour enfants de -11 ans
*
Tarifs groupe

1€ chacun à partir de 10 personnes
*
Possibilité de visite en dehors des jours d'ouverture pour les groupes. Prévenir à l'avance.


Le musée se trouve au palais de la Raymondie, au centre de Martel


Accès au musée
Construit de 1280 à 1330, et possèdant quatre ailes, le palais de la Raymondie, un magnifique et imposant demeure du 12ème siècle, se situe en plein coeur du Martel médiéval, ancienne ville de la Vicomté de Turenne.

On accède au cour centrale soit par l'arcade surmonté d'un beffroi en face de la halle, soit par l'arcade de l'étroite rue Tournemire. 
Entrez par la porte de la tour au coin, et montez au 2ème étage par l'escalier tournant.


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Vous pouvez découvrir des collections permanentes de la préhistoire à l'époque moderne, mais aussi des expositions temporaires allant de la Préhistoire jusqu'à nos jours. 

Voir ci-dessous...

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Le musée a été crée en 1931 par la Mairie, l'Office de Tourisme et Antoine Laurent-Bruzy, au moment où il effectuait des fouilles à la fontaine de Loulié au Puy d'Issolud, pour recevoir les objets découverts à cette occasion, ce qui le lie étroitement au site d'Uxellodunum actuellement en cours de réhabilitation.  Les collections continuent de s'enrichir les années suivantes et encore aujourd'hui.

Un dépot de fouille attenant au musée accueille les pièces de tout le territoire du nord du Lot.  Il permet aux archéologues et prospecteurs-inventeurs
d'y déposer leur trouvailles mais aussi d'accueillir des chercheurs souhaitant étudier plus précisément certaines pièces.

EXPOSITION permanente  -  Martel et l'aventure du sel

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EXPOSITION 2020  : Martel au passé
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UNE CHRONOLOGIE DE MARTEL EN QUATRE PANNEAUX

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EXPOSITIONS PERMANENTES AU MUSÉE EN 2020



EXPOSITION permanente
Les dolmens du nord du Lot


Exposition conçue par Jean-Pierre GIRAULT et réalisée par les Amis du Musee en collaboration avec l'Association Racines.

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Miers
Cette exposition : photos - images, présente la richesse du passé mégalithique dans le nord du Lot.  Elle montre l’émergence de la première architecture environnementale.

C’est un moyen de découvrir l’un des aspects du mode de vie de la fin du néolithique.  

Enfin, elle alerte sur les dangers qui menacent ce patrimoine et révèle toute sa fragilité.

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Carennac

EXPOSITION permanente
Uxellodunum au Puy d'Issolud


Une exposition consacrée à la bataille d'Uxellodunum, le dernier combat de la Guerre des Gaules
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Cette exposition retrace l’histoire extraordinaire du Puy d’Issolud au cours des siècles.
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Site emblématique de la dernière bataille de César en Gaule !
 
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Des panneaux explicatifs, des photographies, des dessins et de nombreux objets archéologiques issus des fouilles anciennes
et récentes viennent agrémentés la visite.

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www.uxellodunum.com
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Voir le site web d'Uxellodunum au Puy d'Issolud pour tous les documents écrits sur les fouilles anciennes et modernes, l'histoire du lieu et de la bataille, la flore et la faune, les terrains.
En plus, des galeries de photos, et les détails des activités organisées au site de la bataille.

​La bataille d'Uxellodunum, nouvelles recherches au Puy d'Issolud à la fontaine de Loulié, version courte  :   Voir MÉDIATHÈQUE
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LA COLLECTION PERMANENTE

Le musée contient des objets de fouilles datant du paléolithique supérieur, du néolithique, des vestiges gallo-romain provenant du nord du Lot (flèches, lances...), surtout du site d'Uxellodunum au Puy d'Issolud (d'où le nom du musée), une collection de pots à pharmacie des 17e-18e siècles, des cartes géographiques dont certaines du 17e, des sceaux de la sénéchaussée et de la ville, des maquettes reproduisant gariottes, cazelles et habitations rurales traditionnelles.

Les maquettes d'Henri Fatisson

Henri Fatisson est un ancien professionnel de l’électronique, originaire de  Thonon en Haute Savoie.  Passionné par le miniaturisme depuis l’âge de 15 ans, il a toujours construit des maquettes : bateaux, avions etc…  Lorsqu’il arriva dans le Quercy dans les années 1990, il s’installa à Vayrac pour y passer sa retraite et c’est là qu’il conçut toute une série de pigeonniers, gariottes, granges, fermes et maisons de bourgs, d’architecture typiquement quercynoise.  Il a légué au Musée de Martel cette extraordinaire collection de maquettes quercynoises.

Non seulement, elles font la joie des petits et des grands mais elles sont le témoin de notre patrimoine bâti ancestral.  En sept ans, sa collection à échelle réduite atteignit une cinquantaine de pièces et Henri Fatisson décida d’en faire don à un Musée. C’est à Martel, sous la municipalité de Jean-Claude Requier, que cette extraordinaire collection de maquettes quercynoises trouvèrent leur place.
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Henri Fatisson avec sa maquette de l'agger

Henri Fatisson a reconstitué la plateforme surmontée d’une tour qui servit de stratagème à César pour creuser les tunnels de sape qui tarirent la source gauloise.  Il construisit donc une maquette à l’échelle de 1/100° montrant un agger (terrasse) de 18m de haut et de 100m de long, portant une tour de dix étages, soit 27 m de haut. La tour avait pour but d’empêcher les Gaulois de venir puiser l’eau à la Fontaine de Loulié.

Pour se documenter, Henri Fatisson se servit de l’ouvrage de Napoléon III « La Guerre des Gaules » (1866) et des informations fournies par Jean Pierre Girault, responsable des fouilles récentes au Puy d’Issolud.

En bois et en pierre véritable, cette maquette a demandé pas moins de 400 h de travail sur une dizaine de mois.   1500 trous ont été creusés pour représenter les troncs d’arbres.   On découvre l’entrée de la galerie souterraine, des mini-pieux de défense enfoncés dans les talus et les escaliers qui permettaient aux Romains d’accéder à la tour. De la peau de chamois simule les peaux d’animaux mouillés qui éviter à la plateforme de prendre feu sous les flèches gauloises enflammées.

Henri Fatisson est aujourd’hui décédé et nous aimerions que sa famille nous contacte.

Résumé établi d’après l’article de la Dépêche du 17/08/2001
Elisabeth Foltz
Martel, 6 octobre 2018


L'ours des cavernes

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L'ours à gauche est l'ours gravé de Pech-Merle dans la "Galerie de l'ours", datation Gravettian vers 28 000 ans comme l'ensemble des oeuvres de la grotte.

L'ours à droite est une gravure fine faisant partie des gravures de l'entrée d'une grotte (dans la commune d'Espagnac Sainte-Eulalie, vallée de la Célé) que Michel Lorblanchet, préhistorien, avait étudiées, relevées, publiées pour sa thèse. Les gravures datent du Magdalénien III, stratigraphiquement datées de 15 000 ans environ.  Il y a avec cet ours des gravures de rennes, de chevaux et bouquetins d'un style magnifique, beaucoup plus naturaliste et détaillé que celui des peintures de Pech-Merle plus anciennes.

Ces deux images sont des relevés de Michel Lorblanchet, directeur de recherche honoraire au CNRS, qui étudie depuis plus de 45 ans les grottes ornées du Quercy.

Vous allez trouver au musée la vraie crane d'un ours des cavernes.


Les pots à pharmacie de l'hospice de Martel
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Elisabeth Foltz, présidente de l'association, et les pots à pharmacie au musée
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Extrait de bourrache

L’Hospice de Martel, devenu l’actuelle Maison de Retraite, a été créé au 18° siècle grâce au legs de Mme de Longueval, originaire de Martel. Il était administré par une Commission et dirigé par des religieuses. En 1763, un contrat est passé avec trois sœurs de la Charité de l’ordre de Saint Vincent de Paul. Elles  s’occupent des pauvres et des enfants trouvés et leur dévouement est tel qu’elles sont épargnées durant la Révolution. L’Hospice vivait de rentes et de dons. Avant la Révolution une filature y est créée pour accroître les ressources à laquelle succède bientôt une apothicairerie, jalousée par les autres apothicaires de la ville.   Ces pots qui ont été remis à la ville par la Commission de l’Hospice, sont les témoins de l’ancienne pharmacopée de l’hospice. La plupart sont du XVIII ° siècle.

Deux provenances de pots sont ici présentées :
  • Deux albarello : pots sans couvercle fermés par un parchemin.
  • Cinq pots de la série Hustin : provenants de la fabrique Hustin de Bordeaux.
  • Trois pots dits de Martel avec décor méridional (cartouche à angelot et coquille Saint- Jacques, jeu de courbes et contre courbes, couleurs bleue et vert pâle).
  • Deux pots Premier empire.
Chaque pot contenait des préparations à base de plantes :
  • Les chevrettes  (pots à becs ainsi nommé car la forme rappelle la corne de l’animal) étaient remplies de sirops (Sÿ).
  • Les pots canon (forme rectiligne rappelant celle du canon) contenaient des électuaires (préparations pharmaceutiques à base de poudres mélangées le plus souvent à du miel). La Thériaque est un électuaire.
 Au 18° siècle, le centre le plus important de la fabrication était Bordeaux. La manufacture royale Hustin avait le monopole de la fourniture des pots à pharmacie dans la région.

Une partie de nos collections...

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