ACTUALITÉS 2017
Weekend du 16 au 18 juin 2017
JOURNÉES DE L'ARCHÉOLOGIE au musée Encore un weekend plein d'animations... Et une première au Musée de Martel : "Dans le peau d'un archéologue" Des ateliers de fouille aux jardins de la Médiathèque, avec la responsable du Musée, Anne Cécile Villechenaud, dîplomée en Histoire de l'art et Archéologie. Mise à disposition de bacs à fouille pour s'initier aux techniques de fouille comme un véritable archéologue. Pour famille et tous publics. Et, bien sûr, des visites au musée et à l'Exposition sur Uxellodunum et une visite commentée de l'exposition "Uxellodunum, la dernière bataille de la Guerre des Gaules". |
2016 - 2017
ANIMATIONS SCOLAIRES ET SORTIE PÉDAGOGIQUE Pour les écoles primaires de Martel et de Souillac, niveau CM1 et CM2. Intervenante : Agnès Schneider, ancienne enseignante. Juin 2017 : Visite de l’exposition Uxellodunum ou la dernière bataille à Martel. Mai 2017 : Présentation de la bataille d’Uxellodunum à Martel et à Souillac. Janvier 2017 : « Autour des Gaulois » Presentation de 3h à Souillac. 8 et 10 novembre 2016 : « Autour des Gaulois » Presentation de 3h à Martel. 13 octobre 2016 : Visite du Musée. Ecole de Martel. |
Samedi 3 et dimanche 4 juin 2017
INAUGURATION DE L'EXPOSITION SUR UXELLODUNUM
Un weekend plein d'animations autour de la thème d'Uxellodunum au Puy d'Issolud
y comprise deux conférences....
INAUGURATION DE L'EXPOSITION SUR UXELLODUNUM
Un weekend plein d'animations autour de la thème d'Uxellodunum au Puy d'Issolud
y comprise deux conférences....
CONFÉRENCE
Dimanche 4 juin à 15h « Archers gaulois et archers romains durant la guerre des Gaules. Le cas du puy d’Issolud (Oppidum d’Uxellodunum) - une approche pluridisciplinaire » Avec Guillaume Renoux, docteur en sciences de l’antiquité de l’université Jean Jaurès et membre associé à l’UMR Traces à Toulouse. Avec Jean-Marie Pailler,
CONFÉRENCE Samedi 3 juin à 15h « Luctère le Cadurque parmi les siens à la fin de la Guerre des Gaules » Jean-Marie Pailler, Professeur émérite à l’université de Toulouse II, ancien membre de l’Ecole Française de Rome et membre honoraire de l’Institut Universitaire de France. |
L'arc et la flèche furent utilisés aussi bien par le Gaulois que par les Romains dans le conflit qui les opposa au cours du dernier siècle avant J.-C. De la lecture méthodique du récit de César on retire les constatations suivantes : les archers expérimentés formaient des contingents nombreux aussi bien du côté des Gaulois que des Romains. Mais si les textes constituent un témoignage direct de la vie des hommes durant l'antiquité, le mobilier archéologique de pointes de flèche découvert à Alésia ou au Puy d'Issolud (oppidum d'Uxellodunum), par exemple, forme un support complémentaire à notre connaissance du passé.
Samedi 8 avril 2017 CONFERENCE : L'image de la femme préhistorique avec François Moser organisée par les Amis du Musée de la Raymondie François Moser est archéologue expérimental, président de l’association Otzial. Crée en 2009, cette association a pour but de favoriser la compréhension des techniques utilisées depuis la préhistoire. Il a expliqué ce que l'Homme est capable de faire pour représenter des Femmes et non la Femme. Il nous a montré qu'il est extrêmement imprudent de tirer des conclusions ou des généralités concernant les motivations qui ont conduit nos ancêtres à figurer des corps de femmes. |
Samedi 14 janvier, s’est tenue la première conférence de 2017. Soixante-dix personnes ont écouté Regis Delbru, Dr socio-économiste retraité, passionné par l’histoire locale. Son exposé « Sur les traces des Wisigoths en Occitanie quercynoise » nous a fait découvrir les traces laissées par ce peuple d’origine germanique. Partis de Suède, les Goths installés en Pologne au 1er siècle gagnèrent la Mer noire où ils se divisèrent en deux groupes : Ostrogoths et Wisigoths. Ces derniers installés en Dacie (actuelle Roumanie) migrèrent à nouveau vers l’ouest sous la poussée des Huns. Peu à peu christianisés et romanisés au contact de l’empire, les Wisigoths devinrent au début du 4è les défenseurs de la pax romana impériale contre les autres barbares. En 418 le premier empereur d’Occident Honorius leur octroya le droit de s’installer en Aquitaine. Profitant de l’anarchie de la Gaule au 5è siècle, le roi Wisigoth Euric étendit son territoire vers le Rhône et s’installa dans le Quercy en 479. Leur occupation fut de courte durée (479-507), la mort de leur roi Alaric II tombé sous les coups des Francs de Clovis entraînant la fuite des élites en Espagne. |
Mais, même s’il ne reste de leur passage que quelques lettres ou récits de Sidoine Apollinaire, ou des écrits dans les bibliothèques anglaises parce que des autodafés brûlèrent localement les écrits de ces peuples chrétiens ariens considérés comme hérétiques par la Papauté, Régis Delbru a su éveiller notre curiosité en nous livrant, de façon argumentée ce qu’il pense être les traces du passage des Wisigoths dans le Quercy. Traces dans les églises romanes avec des pierres de réemploi comme l’ours animal fétiche des Wisigoths. Traces dans la toponymie locale avec des noms de lieux comme Le Goth qui a pu donner Gauthier ou Gautherie…. A nous maintenant d’observer plus attentivement notre région. Un pot de l’amitié a clôturé la rencontre.
"Aujourd’hui ici, la nouvelle région d’Occitanie, administrative et politique, émerge. Son histoire oubliée se confond dans la nuit des temps avec l’histoire des Wisigoths. Le royaume wisigothique de Toulouse (418-507) a laissé une forte empreinte sur la langue occitane et ses parlers locaux malgré les croisades répétées contre le Sud et les chrétiens marqués par l'arianisme. Les rapports tumultueux entre le Nord et le Sud rebelle, politique et religieux, trouvent là, leur origine millénaire.
De cette époque, il reste quelques lettres et récits de Sidoine Apollinaire, ou des écrits dans les bibliothèques anglaises. Localement, les autodafés ont brûlés tous les écrits « païens », seules restent des traces nombreuses sur nos murs, dans la toponymie et dans nos traditions culturelles : Sur nos murs, des symboles, des sculptures en réemploi, une manière de construire ; Sur la toponymie locale, ce sont des noms de lieux à prononcer dans notre langue originale où les V et les B se confondent sans trop s’attacher à leur orthographie, initiée par les clercs latinistes à travers les siècles.
Les Wisigoths ont migré pendant plus de trois siècles, depuis les pays Baltes, en passant par la mer Noire, le Danube et l’Italie à la recherche d’une terre d’accueil qu’ils trouvèrent, dès 412, dans la vallée de la Garonne. Le foedus de 418, permet la naissance à Toulouse d’un royaume fédéré à Rome. A partir de cette date, leur royaume et leur influence romaine ne va pas cesser de s’étendre allant de la Loire à Gibraltar. Les amitiés du roi Théoric II et de Sidoine Apollinaire, évêque d’Auvergne ont protégé l’Auvergne des visées expansionnistes jusqu’en 475. Le Quercy fut annexé en 472.
En 507, le barbare franc Clovis tue Alaric II à Vouillé et il assure la domination des barbares du Nord et de l’église catholique romaine, sur la civilisation romanisée du Sud pour 1400 ans. Les guerriers « reiks » constituèrent la féodalité occitane et les saints locaux."
Régis DEBRU
De cette époque, il reste quelques lettres et récits de Sidoine Apollinaire, ou des écrits dans les bibliothèques anglaises. Localement, les autodafés ont brûlés tous les écrits « païens », seules restent des traces nombreuses sur nos murs, dans la toponymie et dans nos traditions culturelles : Sur nos murs, des symboles, des sculptures en réemploi, une manière de construire ; Sur la toponymie locale, ce sont des noms de lieux à prononcer dans notre langue originale où les V et les B se confondent sans trop s’attacher à leur orthographie, initiée par les clercs latinistes à travers les siècles.
Les Wisigoths ont migré pendant plus de trois siècles, depuis les pays Baltes, en passant par la mer Noire, le Danube et l’Italie à la recherche d’une terre d’accueil qu’ils trouvèrent, dès 412, dans la vallée de la Garonne. Le foedus de 418, permet la naissance à Toulouse d’un royaume fédéré à Rome. A partir de cette date, leur royaume et leur influence romaine ne va pas cesser de s’étendre allant de la Loire à Gibraltar. Les amitiés du roi Théoric II et de Sidoine Apollinaire, évêque d’Auvergne ont protégé l’Auvergne des visées expansionnistes jusqu’en 475. Le Quercy fut annexé en 472.
En 507, le barbare franc Clovis tue Alaric II à Vouillé et il assure la domination des barbares du Nord et de l’église catholique romaine, sur la civilisation romanisée du Sud pour 1400 ans. Les guerriers « reiks » constituèrent la féodalité occitane et les saints locaux."
Régis DEBRU
Mardi 20 mars 2017
DES ÉLÈVES DE MARTEL ONT VISITÉ LE MUSÉE
Au niveau pédagogique, l'association travaille étroitement avec les écoles et le collège de proximité. Le patrimoine "proche" les intéresse et ils sont demandeurs ! Donc, le 20 mars deux groupes d'élèves du collège (une douzaine) et quatre du CM2 de l'école de Martel ont été reçu au musée par Elisabeth Foltz (présidente) et Agnès Schneider (responsable des scolaires). En fait ils ont voulu rencontrer des membres de l'association pour parler du musée et également des dolmens du nord du Lot.
Chaque groupe avait un questionnaire de 10 questions et ils ont fait des enregistrements. En classe, ils doivent rédiger des articles à partir de leur reportage.
DES ÉLÈVES DE MARTEL ONT VISITÉ LE MUSÉE
Au niveau pédagogique, l'association travaille étroitement avec les écoles et le collège de proximité. Le patrimoine "proche" les intéresse et ils sont demandeurs ! Donc, le 20 mars deux groupes d'élèves du collège (une douzaine) et quatre du CM2 de l'école de Martel ont été reçu au musée par Elisabeth Foltz (présidente) et Agnès Schneider (responsable des scolaires). En fait ils ont voulu rencontrer des membres de l'association pour parler du musée et également des dolmens du nord du Lot.
Chaque groupe avait un questionnaire de 10 questions et ils ont fait des enregistrements. En classe, ils doivent rédiger des articles à partir de leur reportage.
Samedi 11 mars 2017 : RAPPORT DE LA CONFÉRENCE
Les origines urbaines de Martel et représentations du sceau consulaire Pierre Flandin-Bléty et Marguerite Guély La deuxième conférence de l'année 2017 s'est tenue samedi au Palais de la Raymondie avec Marguerite Guély, historienne de la sénéchaussée, spécialiste de la Vicomté de Turenne et présidente de la société archéologique de la Corrèze, et Pierre Flandin-Bléty, professeur honoraire des Universités, médiéviste, spécialiste de l’histoire des villes à consulat du 13° au 15° siècle, avec un intérêt particulier pour la Vicomté de Turenne. La conférence a encore une fois attiré et captivé un public de 70 personnes, venu d'horizons différents. Nos deux conférenciers se sont parfois opposés, mais surtout se sont complétés avec leurs exposés respectifs : le premier sur les origines urbaines de Martel, le second sur les trois sceaux de la ville et leur évolution. Mme Guély a commencé par nous rappeler ce que Martel n’est pas. Puis Mr Flandin-Bléty a montré l’évolution des sceaux de la ville au cours d’une étude savante. |
La ville n’est pas un oppidum celte, elle n’est pas un vicus (petit bourg) ou une villa gallo-romaine. Elle n’est pas une ville fondée par Charles Martel ainsi que la légende construite à partir du 16° siècle a bien voulu l’affirmer. Elle n’est pas non plus une ville abbatiale comme Souillac. Si Souillac est fondée en 950, il n’existe pas de Martel à cette époque. Aucune mention dans le cartulaire de Tulle ou de Beaulieu pour cette période.
Par contre, dans les sources manuscrites, Martel ou Martell est cité à partir de 1142 (cartulaire d’Obazine) à l’occasion de dons faits par des nobles des environs à l’abbaye d’Obazine, pour des maisons possédées à Martel. La Vie de Saint Etienne d’Obazine, fondateur de l’abbaye, écrite vers 1180, après sa mort, précise aussi l’existence d’une maison « hors les murs » destinée aux frères d’Obazine et aménagée pour « l’achat et la vente » des marchandises - actuelle place de la Rode. Martel est aussi cité en 1153 pour posséder des mesures. Donc, le fait qu’il existe des maisons appartenant à des nobles, et des mesures, montrent que Martel est devenue une ville neuve entre la fin du X° siècle et le milieu du XII°. A quelle date précise on ne sait pas. Comment ? --- Trois hypothèses sont possibles --- Première hypothèse : Une « sauveté » c’est-à-dire un territoire délimité par des croix, garantissant aux occupants la paix et la sécurité en application des décisions prises au XI° siècle par les conciles d’évêques et d’abbés. Cela est tentant pour Martel car il y a bien eu une église consacrée à Sainte Madeleine à l’est du chevet de Saint Maur, dont le culte remonte à la fin du X° siècle. Cette église, entourée d’un cimetière, en partie ruinée en 1756, sera démolie en 1792. De plus, Martel est entouré de nombreuses croix (cas de Figeac, Souillac, Beaulieu, Carennac). Mais qui aurait créé cette sauveté ? Les moines de Souillac (plus d’archives), les moines d’Obazine (l’abbaye n’est fondée qu’au 12° siècle). Et pourquoi le petit bourg de la Madeleine n’est-il pas inclus dans l’enceinte de la ville murée attestée vers 1150, celle des fameuses mesures ? Des questions pour le moment sans réponse. Deuxième hypothèse : une ville « castelnau ». Du XI au XII° siécle, les nouveaux châteaux se multiplient, leur présence en un lieu précis attire la population, la protège et cet attrait fait naître un bourg castral. C’est le cas de Gourdon, Saint-Céré, Cardaillac. Dans le cadre du mouvement communal, les villes se sont émancipées de la tutelle du seigneur qui leur a accordé une charte. Martel serait donc « un bourg castral » ? |
Là encore la chose est plausible. Martel a obtenu trois chartes. La première charte date de 1219, ce qui est vraiment précoce par rapport aux coutumes du Quercy. A cette date le Vicomte Raymond IV part en croisade. La seconde charte est octroyée en 1235 par le même vicomte.
Il confirme la première et y ajoute l’exonération fiscale. Quel atout!! Il déclare aussi que la Tour de Martel appartiendra toujours au Vicomte, mais sera gardée par les consuls pour assurer le guet et la sécurité de la ville. D’autre part, dans les sceaux de Martel, sur celui qu’on appelle le grand sceau, il y a bien un château sur l’avers et, sur le revers, un cavalier tenant le bouclier et la bannière aux armes de Turenne. Mais où serait le château ? Sous l’actuel Raymondie ? Accolé à la Tour Tournemire ? Nous n’avons pas de certitude là encore. Enfin Marguerite Guély a émis une troisième hypothèse : celle d’une ville- carrefour au croisement de la route royale Paris Toulouse qui passait par Martel et Gramat avant le 17° poste et de la route du sel, de l’Atlantique à Aurillac. Ce sel était remonté sur la Dordogne par les gabariers jusqu’à Souillac où il était déchargé, puis suivait l’axe terrestre Martel-Vayrac. Rajouter cette dimension économique à une ville qui a toujours défendu son artisanat et son commerce n’a rien de contradictoire avec les deux autres hypothèses. Pour conclure, la ville a pu commencer par une petite sauveté entre la fin du X° siècle et le début du 12° et commencer à apparaître au XI° siècle dans le quartier de Sainte Madeleine. Ce premier développement a pu en entraîner un second d’abord sous l’autorité des Vicomtes de Turenne dont Martel s’est émancipé peu à peu. Lorsqu’elle entre dans l’histoire manuscrite, début du 12° siècle, c’est une ville en pleine expansion. Et comme expansion signifie aussi émancipation, elle reçoit sa première charte en 1219. Une ville donc à deux pôles : « une sauveté castrale », prospère et marchande, exemptée d’impôts au seigneur, qui naît et se développe entre le X1°et le XII° siècle avec le marché du sel, puis des moutons, des bœufs engraissés dans les prairies en contrebas, avec le passage des pèlerins et ….. avec l’élevage des chevaux ? Chevaux de course pour les nobles, chevaux de messagerie, chevaux de trait pour l’agriculture et toutes sortes d’attelages. Rappelons l’affaire des courses de chevaux offertes en 1183 par le Vicomte de Turenne au fils du roi d’Angleterre. N’est-ce pas ce que semble aussi nous montrer l’évolution des sceaux de la ville du grand sceau au sceau du secret qui montre trois marteaux très particuliers, ceux du maréchal-ferrant. |
EXPOSITION UXELLODUNUM 2017
La dernière bataille entre les gaulois et les romains
Inauguration : 3 et 4 juin
La bataille d'Uxellodunum, Nouvelles recherches au Puy d'Issolud à la fontaine de Loulié
par Jean-Pierre Girault
Préparation par l'association des Amis du Musée de la Raymondie d'une Exposition sur Uxellodunum de l'archéologue Jean-Pierre Girault en collaboration avec l'association des Amis d'Uxellodunum et l'association Racines, y compris l'exposition des objets trouvés au Puy d'Issolud par Jean-Pierre Girault.
Voir : uxellodunum.com
La dernière bataille entre les gaulois et les romains
Inauguration : 3 et 4 juin
La bataille d'Uxellodunum, Nouvelles recherches au Puy d'Issolud à la fontaine de Loulié
par Jean-Pierre Girault
Préparation par l'association des Amis du Musée de la Raymondie d'une Exposition sur Uxellodunum de l'archéologue Jean-Pierre Girault en collaboration avec l'association des Amis d'Uxellodunum et l'association Racines, y compris l'exposition des objets trouvés au Puy d'Issolud par Jean-Pierre Girault.
Voir : uxellodunum.com
2016 était une année riche en activités de toutes sortes, sur le plan associatif, le plan animation scolaire et le plan conférences et sorties.
L'association compte actuellement 66 adhérents qui donnent leur temps, font des dons, ou travaillent sur d'autres projets. Ceci montre la vitalité de l'association qui continue à s’enraciner dans le paysage culturel grâce à son site, ses conférences, ses activités. Ainsi elle a été intégrée au Comité d’orientation du site d’Uxellodunum ( SMGSU) avec les associations Racines et les Amis d’Uxellodunum au Puy d'Issolud. Elle a été soutenue par le Ministère de la Culture, le Conseil Départemental et la Municipalité de Martel, qui, consciente de l’importance du Musée auprès des jeunes, a décidé de créér un poste de responsable du musée, Anne-Cécile Villechenaud.
Le programme de conférences en 2016 a été bien reçu par le public, la salle étant toujours comble. Et l'exposition sur les Dolmens du Nord du Lot par Jean-Pierre Girault a été un succés surtout pendant les évènements particuliers des Journées d'archéologie et des Journées du patrimoine. Le musée a enregistré plus d'entrées qu'en 2015. Trois visites sur le terrain (une marche aux dolmens et deux visites de Martel) ont plu à l'association. Jean-Pierre Girault, Marguerite Guély et Colette Curtet les ont assurées brillamment. Le travail auprès des scolaires s'est bien passé et il est à developer grâce à Agnès Schneider.
Le programme pour 2017 est déjà commencé avec la conférence sur les Wisigoths en janvier et ses animations scolaires à Martel et à Souillac. D’ici juin nous avons encore trois conférences. L'exposition sur Uxellodunum est en préparation depuis novembre et on envisage de réaliser une valise pédagogique qui sera exploitable par les scolaires. On va présenter un diaporama sur la bataille d’Uxellodunum et nous allons exposer des objets prêtes par des musées de Villefranche de Rouergue et Toulouse.
L'association compte actuellement 66 adhérents qui donnent leur temps, font des dons, ou travaillent sur d'autres projets. Ceci montre la vitalité de l'association qui continue à s’enraciner dans le paysage culturel grâce à son site, ses conférences, ses activités. Ainsi elle a été intégrée au Comité d’orientation du site d’Uxellodunum ( SMGSU) avec les associations Racines et les Amis d’Uxellodunum au Puy d'Issolud. Elle a été soutenue par le Ministère de la Culture, le Conseil Départemental et la Municipalité de Martel, qui, consciente de l’importance du Musée auprès des jeunes, a décidé de créér un poste de responsable du musée, Anne-Cécile Villechenaud.
Le programme de conférences en 2016 a été bien reçu par le public, la salle étant toujours comble. Et l'exposition sur les Dolmens du Nord du Lot par Jean-Pierre Girault a été un succés surtout pendant les évènements particuliers des Journées d'archéologie et des Journées du patrimoine. Le musée a enregistré plus d'entrées qu'en 2015. Trois visites sur le terrain (une marche aux dolmens et deux visites de Martel) ont plu à l'association. Jean-Pierre Girault, Marguerite Guély et Colette Curtet les ont assurées brillamment. Le travail auprès des scolaires s'est bien passé et il est à developer grâce à Agnès Schneider.
Le programme pour 2017 est déjà commencé avec la conférence sur les Wisigoths en janvier et ses animations scolaires à Martel et à Souillac. D’ici juin nous avons encore trois conférences. L'exposition sur Uxellodunum est en préparation depuis novembre et on envisage de réaliser une valise pédagogique qui sera exploitable par les scolaires. On va présenter un diaporama sur la bataille d’Uxellodunum et nous allons exposer des objets prêtes par des musées de Villefranche de Rouergue et Toulouse.